Arrêtée à son domicile new-yorkais pour possession de marijuana et falsification de preuves, l'actrice Amanda Bynes, de la série «Ce que j'aime chez toi», contre-attaque en niant toute évidence. Selon elle, l'un des policiers présent lors de la perquisition aurait eu des gestes déplacés.

Elle parle de harcèlement sexuel. Une accusation postée samedi sur son compte Twitter en ces termes: «Ne croyez pas ce qu'on raconte (…), ce ne sont que des mensonges. J'ai été harcelée sexuellement par un policier. Il a menti et dit que j'avais jeté un bong ( ndlr: une pipe) par la fenêtre alors qu'en fait, j'avais ouvert la fenêtre pour aérer. Il a giflé mon vagin. (…) Du coup, j'ai appelé les flics pour lui. Il m'a mis les menottes, j'ai résisté, ce qu'on ne dit pas.» Elle ajoute: «Et puis on m'a envoyé à l'hôpital psychiatrique. C'est blessant. Je n'ai pas cessé de demander mon avocat, mais ils ne m'ont pas laissé l'avoir.»

La jeune femme poursuit ainsi: «Ils n'ont rien trouvé. (…) C'est pourquoi le juge m'a laissé partir.» Suite à ces allégations, une enquête interne a été ouverte au sein de la police. Pour les parents d'Amanda, leur fille n'aurait pas besoin de séjourner à l'hôpital, mais aurait effectivement consommé de la drogue et de l'alcool, ce qu'elle nie. Elle devra se présenter devant le juge en juillet.