Grande-Bretagne: «Faites-moi confiance», demande Theresa May

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Grande-Bretagne«Faites-moi confiance», demande Theresa May

Dimanche, la Première ministre britannique est revenue sur le Brexit dans la presse.

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Dans son discours, Boris Johnson a promis de donner plus de pouvoirs aux communautés locales et de renforcer les infrastructures de télécommunications et de transport. (Samedi 27 juillet 2019)

Dans son discours, Boris Johnson a promis de donner plus de pouvoirs aux communautés locales et de renforcer les infrastructures de télécommunications et de transport. (Samedi 27 juillet 2019)

Keystone
Le ministre britannique des Affaires étrangères, Jeremy Hunt, s'est attiré des critiques du monde diplomatique, pour avoir comparé l'Union européenne à l'Union soviétique. (1er octobre 2018)

Le ministre britannique des Affaires étrangères, Jeremy Hunt, s'est attiré des critiques du monde diplomatique, pour avoir comparé l'Union européenne à l'Union soviétique. (1er octobre 2018)

AFP
La chancelière allemande a lancé une pique à l'intention de Theresa May devant des industriels allemands. «Il ne reste que «six à huit semaines pour trouver un accord», a noté la chancelière allemande. (25 septembre 2018)

La chancelière allemande a lancé une pique à l'intention de Theresa May devant des industriels allemands. «Il ne reste que «six à huit semaines pour trouver un accord», a noté la chancelière allemande. (25 septembre 2018)

AFP

La Première ministre britannique Theresa May a assuré dimanche qu'elle était en mesure d'obtenir un bon accord sur le Brexit. Elle tente de colmater les brèches au sein de son gouvernement quant à la meilleure voie à suivre sur ce dossier.

«Vous pouvez me faire confiance», a lancé la première ministre. «Le chemin que je suis en train de définir est le chemin qui va aboutir au Brexit pour lequel les gens ont voté», a-t-elle écrit dans le Sunday Times.

«Je vais avoir besoin de votre aide et soutien pour y parvenir. En échange, mon engagement envers vous est simple: Je ne vais pas vous laisser tomber», assure-t-elle. Pour elle, l'accord avec l'UE doit protéger la constitution britannique, l'intégrité économique et honorer les accords de paix avec l'Irlande du nord.

Son gouvernement conservateur est divisé sur le type d'accord douanier que la Grande-Bretagne devrait avoir avec l'UE, après son départ. Les divisions ont éclaté au grand jour la semaine dernière lorsque le chef de la diplomatie Boris Johnson a qualifié de «fou» un projet d'union douanière pour l'après-Brexit soutenu par Mme May.

(ats)

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