On imagine la scène chez Epic Pictures. Un gars sort, tout fier, un jeu de mots pourri: zombeaver, soit la contraction de zombie et de beaver (castor, en anglais). Illumination! Les fictions sur les zombies, ça marche bien. Les castors, ça mord plutôt bien. Faisons un film d'horreur!

Voici donc «Zombeavers», l'histoire d'un groupe de teenagers qui partent en week-end. Les filles mettent leurs bikinis, les garçons préparent les drinking games. Jusqu'à ce qu'ils découvrent que l'endroit où ils se sont installés est infesté de castors, qui n'attendent qu'une chose: les croquer!

Après le phénomène de l'été dernier, «Sharknado», où une tornade de requins s'abattait sur Los Angeles, «Zombeavers» pourrait bien être le nanar de cette année. Vous doutez de la capacité de nuisance de ces boules de poils par rapport à la puissance d'un gros squale? Attendez de voir la bande-annonce. Un castor est rapide et plutôt coriace. De plus, il peut s'enfiler là où vous n'avez même pas envie d'imaginer. Gare aux castors zombies!