Paléontologie: «Homo naledi»: les scientifiques sont perplexes

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Paléontologie«Homo naledi»: les scientifiques sont perplexes

La communauté scientifique se montre sceptique sur la découverte d'une nouvelle espèce humaine en Afrique du Sud. Une datation des ossements fait défaut.

par
Benjamin Fleury
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Le professeur Lee Berger (à droite) et le député sud-africain Cryril Ramaphosa tiennent un crâne fossilisé. Cet ossement proviendrait d'un individu de l'espèce Homo naledi, nommée ainsi par le paléontologue américain. (10 septembre 2015)

Le professeur Lee Berger (à droite) et le député sud-africain Cryril Ramaphosa tiennent un crâne fossilisé. Cet ossement proviendrait d'un individu de l'espèce Homo naledi, nommée ainsi par le paléontologue américain. (10 septembre 2015)

Keystone
Le professeur Lee Berger (à droite) tient un crâne fossilisé. Cet ossement proviendrait d'un individu de l'espèce Homo naledi, nommée ainsi par le paléontologue américain. (10 septembre 2015)

Le professeur Lee Berger (à droite) tient un crâne fossilisé. Cet ossement proviendrait d'un individu de l'espèce Homo naledi, nommée ainsi par le paléontologue américain. (10 septembre 2015)

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Le professeur Lee Berger (à droite) tient un crâne fossilisé. Cet ossement proviendrait d'un individu de l'espèce Homo naledi, nommée ainsi par le paléontologue américain. (10 septembre 2015)

Le professeur Lee Berger (à droite) tient un crâne fossilisé. Cet ossement proviendrait d'un individu de l'espèce Homo naledi, nommée ainsi par le paléontologue américain. (10 septembre 2015)

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Homo naledi. Depuis jeudi, ces deux mots ont fait le tour du monde. Le paléontologue américain Lee Berger aurait mis à jour une nouvelle espèce d'hominidé selon les résultats de fouilles menées en Afrique du Sud publiés jeudi. Avec l'appellation Homo naledi, le chercheur a assuré qu'une nouvelle espèce avait été découverte et que celle-ci se classait dans le genre Homo. Face à cette trouvaille majeure, la communauté scientifique s'est cependant montrée sceptique et regrette qu'une datation précise des fossiles ne soit pas possible.

Selon une information du Temps, l'absence de datation des ossements pose un gros problème d'appréciation. Interrogé par le quotidien suisse, Jean-Jacques Jaeger, paléoanthropologue à l'Université de Poitiers, affirme que «ces ossements ne sont pas, comme c'est souvent le cas, incrustés dans des sédiments qu'on peut dater avec précision». Face à l'absence de méthodes d'analyse efficaces, il devient dès lors hasardeux de placer ces découvertes sur un arbre généalogiques.

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