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Genève-2L'arrêt des violences au cœur des discussions sur la Syrie

Les négociations entre belligérants syriens ont repris ce lundi matin à Genève sous l'égide des Nations Unies.

Alain Jourdan
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Alain Jourdan
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Staffan de Mistura a été choisi pour  succéder à Lakhdar Brahimi comme médiateur de l'ONU en Syrie. Il tentera de relancer un processus politique dans l'impasse depuis l'échec des négociations de Genève en février.(10 juillet 2014)

Staffan de Mistura a été choisi pour succéder à Lakhdar Brahimi comme médiateur de l'ONU en Syrie. Il tentera de relancer un processus politique dans l'impasse depuis l'échec des négociations de Genève en février.(10 juillet 2014)

AFP
L'opposition à Assad et le médiateur de l'ONU Lakhdar Brahimi ont affirmé toujours croire à une solution négociée en Syrie (27 février 2014)

L'opposition à Assad et le médiateur de l'ONU Lakhdar Brahimi ont affirmé toujours croire à une solution négociée en Syrie (27 février 2014)

AFP
Assad est montré du doigt par Washington pour avoir arrêté des proches d'opposants qui avaient participé à la conférence de paix Genève-2. (26 février 2014)

Assad est montré du doigt par Washington pour avoir arrêté des proches d'opposants qui avaient participé à la conférence de paix Genève-2. (26 février 2014)

AFP

Les négociations entre belligérants syriens ont repris ce lundi matin à Genève sous l'égide des Nations Unies. Les chefs de délégation, le ministre syrien des affaires étrangères Walid Mouallem et le représentant de la Coalition syrienne Hamad Jarba n'ont pas participé directement aux discussions qui ont repris au Palais des Nations. Lakhdar Brahimi le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe a prévu de rencontrer les deux parties séparément, dans un premier temps.

Un changement de méthode pour plus d'efficacité. Cette fois-ci les deux délégations sont venues avec un plan de travail plus structuré qui concerne la mise en place d'un gouvernement de transition, des cessez-le-feu et l'humanitaire. Depuis ces dernières heures, la pression se fait plus forte. Après les incidents qui ont émaillé l'évacuation de quelque 600 civils à Homs, le CICR et le Croissant-Rouge ont appelé les deux parties à respecter les Conventions de Genève et à ne pas mettre en péril la vie des secouristes.

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