"Nous sommes contents qu'elle vienne au Brésil, a dit le joueur de 29 ans en conférence de presse à Santo André (nord-est). C'est une motivation spéciale quand la chancelière est là". "Si elle s'y laisse entraîner et si le match tourne bien, elle trouvera le chemin des vestiaires, comme lors des derniers tournois. J'espère qu'après, je pourrai faire un selfie avec elle", ou autoportrait photographique par téléphone portable, a ajouté "Poldi", féru des réseaux sociaux. "Le premier match d'une Coupe du monde est toujours particulier, a aussi relevé Podolski. Quand on gagne, ça donne un bel élan. Quand on perd, des questions se posent, on se demande si on fait les choses correctement". Interrogé sur Cristiano Ronaldo, il a précisé que les Allemands se préparaient à "affronter le Portugal et non un joueur": "Cristiano est un joueur hyperdangereux, qui peut faire la décision dans un match, mais nous en avons aussi, a-t-il banalisé. Si nous sommes performants, alors peu importe Cristiano Ronaldo; si ce n'est pas le cas, alors il faut espérer qu'il soit éteint ou pas dans un bon jour". Mais l'attaquant d'Arsenal (113 sélections, 46 buts), qui dispute son troisième Mondial, s'est dit très confiant: "Nous sommes arrivés à un point où nous pouvons sérieusement parler de titre. Ce n'était auparavant pas toujours le cas". L'Allemagne rencontrera ensuite le Ghana et les Etats-Unis, dans le groupe G. sid-ybl/fbx