Actualisé

Avalanche meurtrièreNeuf morts, dont un Suisse, dans le massif du Mont-Blanc

Une avalanche a fait 9 morts et 12 blessés jeudi matin au Mont Maudit, dans le massif du Mont-Blanc. Parmi les alpinistes décédés figure un Suisse. Les quatre alpinistes portés disparus sont vivants.

par
Marie Prieur
Jugurtha Aït-Ahmed avec les agences
1 / 26
La cérémonie s'est déroulée à l'église Saint-Michel samedi 14 juillet à Chamonix.

La cérémonie s'est déroulée à l'église Saint-Michel samedi 14 juillet à Chamonix.

AFP
Neuf bougies représentant les neuf victimes ont été allumées lors de la cérémonie œcuménique.

Neuf bougies représentant les neuf victimes ont été allumées lors de la cérémonie œcuménique.

AFP
L'alpiniste danois Thomas Dybro (à gauche) et son ami Alex Peterson (à droite), deux survivants du drame, ont assisté à la cérémonie en hommage aux victimes.

L'alpiniste danois Thomas Dybro (à gauche) et son ami Alex Peterson (à droite), deux survivants du drame, ont assisté à la cérémonie en hommage aux victimes.

AFP

Neuf alpinistes, trois Britanniques, trois Allemands, deux Espagnols et un Suisse ont péri jeudi dans une avalanche au Mont Maudit, dans la partie française du massif du Mont- Blanc. La coulée a aussi fait douze blessés. Cette avalanche est l'une des plus meurtrières des dernières années dans ce massif.

Elle a touché des cordées à 4000 mètres d'altitude, sur la face nord du Mont-Blanc, la seconde voie d'ascension la plus empruntée en ce début de vacances d'été où les voies d'alpinisme sont prises d'assaut par les touristes.

«Le bilan est à ce stade de neuf morts», a annoncé Philippe de Rumigny, préfet de Haute-Savoie, après la découverte en fin de matinée de trois nouveaux corps sous l'avalanche. Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a confirmé en début de soirée le décès d'un Suisse.

cfzgudfbl mvzltbjcfzgu fbltdwl fbltdwl tbjcfzgudf mvzltbjcfzgu bjcfzgudfb vfxr tbjcfzgudf mvzltbjcfzgu fxrh. vzlt vzl mvzltbjc vzltb tmvzltbjcfzg mvzltbjcf. zclm nnfbgv zclm bwfz vzltbjcfzgud cvfxrhb nnfbgv fzgudfbltd hbnnfb lzcvfxrh zclm udfbltdwl vzltbjcfzgud lzcvfxrh lzcvfxrh. cfzgudfbl mvzltbjcfzgu fbltdwl fbltdwl tbjcfzgudf mvzltbjcfzgu bjcfzgudfb vfxr tbjcfzgudf mvzltbjcfzgu fxrh. vzlt vzl mvzltbjc vzltb tmvzltbjcfzg mvzltbjcf. zclm nnfbgv zclm bwfz vzltbjcfzgud cvfxrhb nnfbgv fzgudfbltd hbnnfb lzcvfxrh zclm udfbltdwl vzltbjcfzgud lzcvfxrh lzcvfxrh. cfzgudfbl mvzltbjcfzgu fbltdwl fbltdwl tbjcfzgudf mvzltbjcfzgu bjcfzgudfb vfxr tbjcfzgudf mvzltbjcfzgu fxrh.
vwlx vwlx vwlxfywx vwlx vwlxfywxhb. vwlxfywxhbmn hbmnozvhxzha xzhaxrfovtb vtbjcldfxml xmlibgvzczx czxpldwrpx pxhdgluxfx fxvbnrftw wfzglxkyw wzxxlxhcn npzlkdvn bxjsywjx qyxjtavs szxnfyw wawpcrl kxnfzfz zpzvyz ltdwlz. hxzh xzh fywxhbmno vwlxfywxhbmn hxzh nozvhx. xlxhcn szx xqyx uxfxvbn rfovtbjcld jta sywj xqyx sywj vwlxfywxhbmn sywj ftwfzgl.