Il y a eu beaucoup de hauts et de bas. C'était une demi-finale étrange. Il (Djokovic) a la faculté à rester dans le jeu, à contrer, à rester en défense, à toujours vous faire jouer un coup de plus. L'important, c'était d'être agressif, de rester avec lui. J'ai essayé mais cela n'a pas été suffisant. Je ne suis pas triste, pas énervé mais pas satisfait non plus. J'ai eu des occasions pour passer devant mais je ne les ai pas saisies. Il y a eu ces deux balles de break dans le troisième set puis le cinquième où je rate des revers faciles. Il faut voir aussi le côté positif. J'ai joué ma troisième demi-finale de Grand Chelem. C'est exceptionnel pour moi. Maintenant l'idée, c'est de continuer à travailler pour progresser encore et maintenir ce niveau tout au long de l'année (...) Andy (Murray) joue vraiment très bien. Il défend très bien, avec une capacité à revenir dans le terrain et à être très agressif. Mais le favori reste Novak pour moi en finale. J'ai toujours l'impression que lorsqu'il est présent et qu'il tient mentalement, il est capable de battre tout le monde." ll/tsq