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Fred & FluckPharrell, il fallait ne pas le voir pour le croire

Lundi, j'ai troqué Pharrell Williams contre une crêpe au fromage. J'ai trop aimé son album «G I R L» pour le voir agoniser sur l'échafaud.

Fred Valet
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Fred Valet

D'autant qu'en 2008 déjà, il avait suicidé son groupe N. E. R. D. sous un torrent de larmes (les miennes). Sauf que, lundi soir, il aurait fallu s'enterrer dans le jardin du Palace pour ne pas entendre ce qu'on n'a pas écouté. Torrent d'avis (sauf le mien). Le concert ou l'arnaque du siècle? J'ai digéré ma crêpe et les premières critiques. Il n'a joué qu'une heure au lieu des 90 minutes prévues. Scandale? On s'en fout. Le génial stratège n'a pas besoin d'en faire des tonnes pour que le public s'en charge. Au fond, un concert de Pharrell, c'est un feu d'artifice du 1er Août. Une finale de Coupe du monde. Une machine totalitaire bien trop imbibée d'attentes pour qu'on puisse profiter du spectacle. 

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