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Guerre civileQue racontent vraiment les vidéos amateurs de Syrie?

Le New York Times a mis en ligne une plateforme interactive permettant de commenter et de contextualiser les images et vidéos du conflit syrien postées sur internet. Une bonne idée?

par
Sandrine Perroud
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Les images des combats de Damas nous parviennent principalement de vidéos amateurs. Ici, des soldats du mouvement rebelle s'opposent aux forces du régime syrien, probablement près du poste de police dit de Tadamon. Le 18 juillet 2012.

Les images des combats de Damas nous parviennent principalement de vidéos amateurs. Ici, des soldats du mouvement rebelle s'opposent aux forces du régime syrien, probablement près du poste de police dit de Tadamon. Le 18 juillet 2012.

Keystone
Autre image d'une vidéo amateur sur le même événement. Le 18 juillet 2012.

Autre image d'une vidéo amateur sur le même événement. Le 18 juillet 2012.

Keystone
Une image satellite du quartier de Qabun, à Damas, montre l'ampleur des destructions. On y voit aussi des immeubles en fumée. Le 18 juillet 2012.

Une image satellite du quartier de Qabun, à Damas, montre l'ampleur des destructions. On y voit aussi des immeubles en fumée. Le 18 juillet 2012.

Keystone

Que faire lorsqu'un territoire en conflit est interdit aux journalistes et aux ONG? Et lorsque, en parallèle, des dizaines de vidéo et images amateurs sont postées sur internet sans pouvoir en vérifier ni l'origine, ni le contexte?

Le New York Times a un élément de réponse. Il vient de mettre en ligne une plateforme participative qui propose de commenter, contextualiser et sourcer en direct les vidéos et images du conflit via les réseaux sociaux.

Le site Watching Syria's War propose de mettre en perspective depuis mercredi les images des violences qui enflamment Damas, ville encore fermée aux médias. Des connaisseurs de la capitale syrienne permettent ainsi, par leurs commentaires envoyés sur Twitter et Facebook, de situer les lieux des batailles et leurs participants.

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