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SécuritéUn minipistolet jouet confisqué à la douane!

Un inconnu affirme que le flingue en plastique d'une figurine tirée de Toy Story a été saisi à l'aéroport de Heathrow.

Renaud Michiels
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Renaud Michiels
Le terroriste présumé n'a pu embarquer qu'une fois délesté de son arme de destruction minime. Sur les réseaux sociaux on peut lire: «J'ai parcouru le monde avec Woody de Toy Story en prenant des photos pour mon fils.» Et de balancer: «Gardez le monde en sécurité, les gars…»

Le terroriste présumé n'a pu embarquer qu'une fois délesté de son arme de destruction minime. Sur les réseaux sociaux on peut lire: «J'ai parcouru le monde avec Woody de Toy Story en prenant des photos pour mon fils.» Et de balancer: «Gardez le monde en sécurité, les gars…»

On a évité un massacre, ricane le quotidien britannique Metro sur son site Web. Une poupée de cow-boy a apparemment été perçue comme un risque terroriste, persifle le Daily Mail, qui révèle l'invraisemblable. A en croire une image postée par un voyageur, le service de sécurité de l'aéroport londonien de Heathrow a cru utile de dépouiller un petit jouet de sa micropétoire!

Le terroriste présumé n'est autre que Woody, le cow-boy héros de la série Toy Story (Pixar). L'individu de quelques centimètres manifestement en plastique a apparemment tenté de s'introduire dans un avion avec son mini six coups. Mais la sécurité veillait. Et s'est montré finalement coulante : pas d'interrogatoire musclé du jouet. Après avoir été délesté de son arme de destruction minime le cow-boy a été autorisé à embarquer.

La personne qui posté l'image de la confiscation sur les réseaux sociaux n'a pas été identifiée. Il a accompagné son cliché de la légende: «J'ai parcouru le monde avec Woody de Toy Story en prenant des photos pour mon fils.» Et de balancer: «Gardez le monde en sécurité, les gars…»

No comment

Sérieux, faut-il vraiment croire cette information qui semble venir de l'infini voire au-delà? Si c'est un gag, il est génial. Sinon, c'est à pleurer. Reste que le Daily Mail a demandé une confirmation à l'aéroport, qui n'a pas prétendu que la sécurité nationale était en jeu mais a refusé de s'exprimer sur cette affaire. Le journal s'est alors tourné vers le département britannique des transports, qui n'a pas démenti. Mais rétorqué: «Nous ne commentons pas les incidents spécifiques ou détails de notre régime de sécurité.»

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