Jeu vidéoUbisoft lance un «Quidditch» sur roues
Après une longue période de test, «Roller Champions» s’ouvre à tous le 25 mai en mode «free to play». On y a fait quelques tours d’arènes.
«Roller Champions» – un nouveau free to play produit par Ubisoft – ouvre ses arènes à tous et toutes le jeudi 25 mai sur PC et consoles. Imaginez une arène composée de gradins et d’une piste ovale sur laquelle s’affrontent deux équipes de trois personnes équipées de rollers. Une balle y est éjectée. Il s’agit de s’en emparer, de faire au moins un tour complet de piste et de la lancer dans un anneau suspendu pour marquer 1, 3 ou 5 points en fonction des tours effectués sans perdre la balle. La première équipe à totaliser 5 points gagne la manche. Il va sans dire que l’équipe adverse tentera d’intercepter la balle et de faire de même.
Dans l’arène
Bien qu’annoncé en juin 2019 et passé par pas moins de deux phases bêta fermées, ce «petit» jeu sportif était passé sous notre radar. Les quelques parties pratiquées avant l’ouverture, mercredi, des portes en grand sur PC, Xbox et PlayStation (les deux dernières générations) nous ont permis de découvrir un jeu simple d’accès, à l’esthétique proche de celle adoptée dans «Fortnite», agréable à pratiquer et dont les règles sont faciles à assimiler.
Prise en main aisée
Côté gameplay la règle voulant que les bases soient aisées mais que l’investissement et la pratique révèlent de nombreuses subtilités est bien respectée. En tout état de cause la courbe d’apprentissage nous a paru gérable et agréable pour des gamers de tout type. Si certaines parties permettent l’ajout de bots pour combler des équipes incomplètes, le jeu est clairement conçu pour privilégier des avatars pilotés par des humains. Un système de matchmaking s’emploie a former les équipes. Mais avoir quelques amis sous la main pour se lancer semble être la voie royale.
Un œil sur le «free to play»
Free to play oblige «Roller Champions» est truffé de mécaniques qui incitent à débourser quelques brouzoufs pour accéder à toutes les récompenses cosmétiques et de notoriétés. S’il est parfaitement possible de ne pas céder à la tentation d’emprunter la «voie premium», les parents de rejetons sensibles aux gratifications sont invités à faire preuve de vigilance.