Etats-Unis - Le père de Britney enregistrait à son insu ce qu’il se passait dans sa chambre

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États-UnisLe père de Britney enregistrait à son insu ce qu’il se passait dans sa chambre

D’après «Controlling Britney Spears», le nouveau documentaire du «New York Times», Jamie Spears a surveillé tous les appels téléphoniques ainsi que les messages envoyés de sa fille.

Sous la pression médiatique, le père de Britney Spears a accepté de ne plus être en charge de la tutelle de sa fille.

Sous la pression médiatique, le père de Britney Spears a accepté de ne plus être en charge de la tutelle de sa fille.

AFP

Un nouveau documentaire du «New York Times», paru ce vendredi 24 septembre, a fait plusieurs révélations concernant la manière dont Britney Spears a été traitée par son père ces dernières années. En effet, le film affirme que Jamie Spears a fait installer un système de surveillance qui capturait le son de sa chambre à coucher.

Le géniteur serait en possession de plus de 180 heures de conversation que Britney aurait eues avec son fiancé et avec ses enfants. «Ce n’est pas parce que vous avez le contrôle que vous avez le droit de traiter les gens comme une propriété», a déclaré Alex Vlasov, ancien employé de la société de sécurité Black Box. «Je n’avais pas l’impression qu’elle était traitée comme un être humain.»

«J’ai gardé une copie des enregistrements»

Britney Spears avait dénoncé l’attitude de son père en 2016. Elle déclarait qu’elle n’avait pas le droit d’avoir des amis «et particulièrement des hommes» sans l’approbation de son père. «Il avait une obsession pour les hommes dans la vie de Britney», a confirmé Alex Vlasov. L’homme a expliqué que parmi ses tâches quotidiennes, il devait transmettre les SMS reçus par Britney à son père. Il a ajouté qu’en 2016 on lui avait également demandé de supprimer les enregistrements audio de la chambre de Britney. «Je leur ai donné une clé USB avec les sons. Je leur ai demandé ce qu’il y avait dessus. Ils avaient l’air nerveux, ils m’ont dit que c’était très sensible et que personne ne devait jamais savoir ce qu’il y avait dessus. Cela a déclenché tellement de signaux d’alarme chez moi… Je ne voulais pas être complice, alors j’ai gardé une copie des enregistrements. Je ne voulais pas effacer de preuves.»

(Lematin.ch)

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